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| | Auteur | Message |
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Kurenai Maria
Messages : 10 Date d'inscription : 26/12/2012 Age : 25 Localisation : France
| Sujet: Récit, mon beau récit... Ven 28 Déc - 19:50 | |
| Bonjour/Bonsoir ! Je vais vous présenter un texte qui est en fait une rédaction scolaire, c'est la suite d'une nouvelle qu'on à étudier (''La Parure de Maupassant'') Je voudrais bien le raccourcir car il est un peu long, le minimum était de 25 lignes, je ne crois pas qu'il y est de maximum, mais bon sur Open Office, j'ai compter 74 lignes quand même ^^ J'ai donc besoin de vos conseils pour me corriger et améliorer mon texte, pour le moment, ne faite pas attention à la présentation du texte, ce n'est qu'un brouillon à l'ordi la ''version final'' sera sur papier :) (excusez moi si sa ressemble pour le moment à un gros bloc de lettres) Bon, voici la bête ^^ : - Spoiler:
Madame Forestier, fort émue, lui prit les deux mains. ''Oh ! Ma pauvre Mathilde ! Mais la mienne était fausse. Elle valait tous au plus cinq cent francs !...'' Mathilde était abasourdit, elle resta figée comme ça pendant un bon moment. Dans sa tête, défilait sans cesse les images de ce bal, de cette parure et de tout le mal qu'elle c'était donné pour réparer son erreur. Comment avait-t-elle pu anéantir toute sa vie, tout le peu qui la rapprochait de ce qu'elle avait rêvait jour et nuit d'être autrefois, en perdant une simple parure ? Une larme coula sur sa joue, sa faisait des années qu'elle n'avait pas pleuré, dix ans plus exactement. - ''Mathilde, voyons ne reste pas là à pleurer de la sorte. Je vais te raccompagner à ton domicile''. Mathilde acquiesça, ne trouvant guère la force de décrocher mots. Jeanne rappela son fils qui s'était éloigné, et commença à avancer avec Mathilde à ses cotés qui peiné à marcher, usée par toutes les tâches qu'elle avait dût endurer jusque-là. Sur le chemin du retour, ni l'une ni l'autre ne parla, Mathilde se contentait de faire quelques signes de la main afin d'indiquer le chemin de son ''domicile''. Mathilde s’arrêta devant un vieux bâtiment aux murs décrépis. - ''Alors, c'est ici que tu as vécu si péniblement pendant tout ce temps ?'' lui dit Jeanne. Mathilde baissa les yeux. - ''Oui, tout en haut, sous le toit.'' Un silence si fit, les deux femmes ne trouvaient rien à se dirent. - ''Pourquoi ne me l'as tu pas dit plus tôt, rien de cela ne serait arrivé.'' dit-Jeanne. - ''Mais je ne pouvais pas ! Pour quoi me serais-je fais passer, et puis, je ne voulast pas que tu m'en veuille, alors, je l'ai fais remplacer''. Lui rétorqua Mathilde. - ''Je comprend... Je dois y aller, mon mari va m'attendre''
Jeanne ouvrit la vieille porte en bois du bâtiment et entra à l'intérieur, elle gravît une à une les marches qui menaient au dernier étage. Elle entra et s'assit sur la chaise, elle regardait dans le vide, tout en pensant au temps passé et comment allait-elle annonçait cela à son mari ? Quand soudainement, son mari entra. - ''Eh bien, Mathilde, qu'est ce que tu fais là ? Tu n'étais pas parti te promener au parc ?'' Mathilde dit à son mari de s'assoir et commença à parler tout en bégayant. - ''Au parc... j'ai... J'ai vu Jeanne et... je lui ai dit pour la parure, elle... elle m'a dit que la sienne était fausse..! Et qu'elle valait 500 francs tout au plus ..! Le mari de Mathilde était lui aussi bouche bée.. - ''Ne t'inquiète pas Mathilde, on va bien trouver un moyen d'arranger ça..'' dit-il, en essayant de rassurer Mathilde. Mathilde le regarda et lui dit essayant tant bien mal de retenir sa colère. - ''Oui, mais quoi ? Que veux-tu qu'on fasse ? On ne peut rien faire !'' Le mari de Mathilde réfléchit quelques instants et finit par trouver une éventuelle solution. - ''Eh bien, on pourrait retourner voir le joaillier, peut être que, il pourrait envisager de nous remboursé en échange de la parure, nous en rachèteront une fausse à Jeanne''. - ''Mais il faudrait que je reprenne la parure à Jeanne et... enfin après tous, on peut toujours essayer d'y aller, même sans la parure, pour se renseigner... cela au moins, ça ne nous coutera rien''. lui répondit Mathilde.
Le couple partit de suite chez le joaillier afin de leur exposer leur offre. Ils frappèrent à la porte et le joaillier leurs ouvrit. - ''Bonjour, encore vous.. Entrer voyons'' leur dit le joaillier. - ''Bonjour à vous aussi'' lui répondit le couple. Le couple entra et prient une chaise devant le bureau en bois, juste en face du joaillier. Le mari commença à parler. - ''Voilà, nous vous avons il y a dix ans fait la commande d'une parure, que nous venons de finir de rembourser aujourd'hui même, mais, nous avons un problème au sujet de cette parure, donc nous souhaiterions vous la restituer et récupérer notre argent''. Le joaillier prit un air pensif et dit : - ''Hum... Je vois, mais cela ne va pas être possible, on ne peut pas rendre une parure comme ça, dix an plus tard, désoler''. Le couple se regarde et le mari dit : - ''Bien sur, nous comprenons..'' ils se levèrent et partirent. - ''Au revoir '' dit Mathilde.
Le mari raccompagna Mathilde jusqu'à chez elle. - ''Bon, je dois y aller Mathilde, j'ai une réunion au ministère, à ce soir'' lui dit-elle. Mathilde rentra et alla s'assoir, longuement elle songea à ce qu'elle allait faire maintenant. Elle avait passer sa jeunesse à rêver d'une vie meilleure, elle a gaché le reste de sa vie à cause de la parure de Jeanne qu'elle avait perdu à un bal et qu'elle a choisit de remplacer et de la rembourser alors que celle ci coutait très chère pour au final apprendre que celle de Jeanne était en fait fausse.. Que devait-elle faire maintenant ?! Elle ne savait pas, elle ne savait plus.. Machinalement, elle se leva et se dirigea vers la petite pièce misérablement meublée qui servait de cuisine, ouvrit un placard et saisit une corde... Une heure plus tard, le mari rentra de sa réunion et dit comme à son habitude quand il rentrait : - ''Je suis rentré Mathilde !'' Quelque chose c'était passé, il ne sentait pas l'odeur du pot-au-feu habituel et personne ne lui répondit. Il enleva son manteau, le posa et se dirigea vers la cuisine. Il vit Mathilde... elle s'était pendue... A cette vue, le mari fit un arrêt cardiaque...
Je viens de faire une 2ème version où j'ai suprimer le passage du joaillier que j'ai remplacer par un autre, qui est plus court et renforce les raisons du sucide de Mathilde (sur Open Office, je compte 60 lignes au lieu de 74 et je pense que ça devrait faire encore plus court une fois sur papier ). Je n'ai pas encore rajouter plus de figures de styles, il faut d'abord que je réfléchisse lequels mettres et où les mettres. Voici le texte (sous spoiler pour prendre moins de place ^^) : - Spoiler:
Madame Forestier, fort émue, lui prit les deux mains. ''Oh ! Ma pauvre Mathilde ! Mais la mienne était fausse. Elle valait tous au plus cinq cent francs !...'' Mathilde était abasourdit, elle resta figée comme ça pendant un bon moment. Dans sa tête, défilait sans cesse les images de ce bal, de cette parure et de tout le mal qu'elle c'était donné pour réparer son erreur. Comment avait-t-elle pu anéantir toute sa vie, tout le peu qui la rapprochait de ce qu'elle avait rêvait jour et nuit d'être autrefois, en perdant une simple parure ? Une larme coula sur sa joue, sa faisait des années qu'elle n'avait pas pleuré, dix ans plus exactement. - ''Mathilde, voyons ne reste pas là à pleurer de la sorte. Je vais te raccompagner à ton domicile''. Mathilde acquiesça, ne trouvant guère la force de décrocher mots. Jeanne rappela son fils qui s'était éloigné, et commença à avancer avec Mathilde à ses cotés qui peiné à marcher, usée par toutes les tâches qu'elle avait dût endurer jusque-là. Sur le chemin du retour, ni l'une ni l'autre ne parla, Mathilde se contentait de faire quelques signes de la main afin d'indiquer le chemin de son ''domicile''. Mathilde s’arrêta devant un vieux bâtiment aux murs décrépis. - ''Alors, c'est ici que tu as vécu si péniblement pendant tout ce temps ?'' lui dit Jeanne. Mathilde baissa les yeux. - ''Oui, tout en haut, sous le toit.'' Un silence si fit, les deux femmes ne trouvaient rien à se dirent. - ''Pourquoi ne me l'as tu pas dit plus tôt, rien de cela ne serait arrivé.'' dit-Jeanne. - ''Mais je ne pouvais pas ! Pour quoi me serais-je fais passer, et puis, je ne voulais pas que tu m'en veuille, alors, je l'ai fais remplacer''. Lui rétorqua Mathilde. - ''Je comprend... Je dois y aller, mon mari va m'attendre'' Jeanne ouvrit la vieille porte en bois du bâtiment et entra à l'intérieur, elle gravît une à une les marches qui menaient au dernier étage. Elle entra et s'assit sur la chaise, elle regardait dans le vide, tout en pensant au temps passé et comment allait-elle annonçait cela à son mari ? Quand soudainement, son mari entra. - ''Eh bien, Mathilde, qu'est ce que tu fais là ? Tu n'étais pas parti te promener au parc ?'' Mathilde dit à son mari de s'assoir et commença à parler tout en bégayant. - ''Au parc... j'ai... J'ai vu Jeanne et... je lui ai dit pour la parure, elle... elle m'a dit que la sienne était fausse..! Et qu'elle valait 500 francs tout au plus ..! Le mari de Mathilde était lui aussi bouche bée.. - ''Ne t'inquiète pas Mathilde, on va bien trouver un moyen d'arranger ça..'' dit-il, en essayant de rassurer Mathilde. Mathilde le regarda et lui dit essayant tant bien mal de retenir sa colère. - ''Oui, mais quoi ? Que veux-tu qu'on fasse ? On ne peut rien faire !'' Le mari de Mathilde réfléchit quelques instants et finit par trouver une éventuelle solution. - ''Bon, écoute Mathilde, j'ai reçu une lettre du ministère, j'aurais voulût t'en parler plus tôt, mais avec cette histoire de parure que tu viens de me raconter, tu comprend... Je suis virée, le ministère me vire sous prétexte qu'il veut engagé un autre commis, plus jeune..'' Mathilde regarda fixement son mari avec des yeux écarquillés exprimant le désespoir.. - '' Ce n'est pas possible qu'allons nous faire !?! '' hurla t-elle. - ''Je n'en sais rien Mathilde, je n'en sais rien.. En attendant, je doit retourner au ministère récupérer les quelques affaires que j'y ait laissé.'' Le mari se leva, dit au revoir à sa femme prit, son manteaux et sortis laissant Mathilde dans le doute... Elle avait passer sa jeunesse à rêver d'une vie meilleure, elle a gâché le reste de sa vie à cause de la parure de Jeanne qu'elle avait perdu à un bal et qu'elle a choisit de remplacer et de la rembourser alors que celle ci coutait très chère pour au final apprendre que celle de Jeanne était en fait fausse.. Que devait-elle faire maintenant ?! Elle ne savait pas, elle ne savait plus.. Machinalement, elle se leva et se dirigea vers la petite pièce misérablement meublée qui servait de cuisine, ouvrit un placard et saisit une corde... Une heure plus tard, le mari rentra de sa réunion et dit comme à son habitude quand il rentrait : - ''Je suis rentré Mathilde !'' Quelque chose c'était passé, il ne sentait pas l'odeur du pot-au-feu habituel et personne ne lui répondit. Il enleva son manteau, le posa et se dirigea vers la cuisine. Il vit Mathilde... elle s'était pendue... A cette vue, le mari fit un arrêt cardiaque...
Voilà, voilà ^^
Dernière édition par Kurenai Maria le Sam 29 Déc - 14:24, édité 1 fois |
| | | Gray Fullbuster
Messages : 68 Date d'inscription : 19/10/2012 Age : 25
| Sujet: Re: Récit, mon beau récit... Ven 28 Déc - 20:53 | |
| Oh, coincidence! Nous aussi on a étudié "La Parure" de Guy de Maupassant! Je vais pouvoir commenter ta rédaction comme il se doit ~ Par contre, ça risque probablement d'être plus dur de donner des arguments fondés pour ceux qui n'ont pas lu la nouvelle et/ou qui ne connaissent pas beaucoup l'auteur x)
Bon alors, pour ma part j'ai trouvé ta rédaction très bien, je trouve que tu as cerné le personnage de Mathilde et même si c'est très dramatique à la fin, on peut considérer ça comme une chute et digne du style de Maupassant *-*
Mais si je pourrais te donner un conseil, essaie d'utiliser plusieurs figures de styles comme l'auteur l'a déjà fait dans le texte! Je ne sais pas si vous vous avez étudiez ça mais essaie de faire des anaphores par exemple ou des hyperboles pour vraiment insister sur le choc que le couple a eut x)
Voilà c'était juste un avis comme ça, à toi de voir si tu trouves ça nécessaire! Par contre pour raccourcir ton texte je peux pas t'aider car moi je fais toujours trop de lignes et du coup ça respecte jamais la consigne @_@" |
| | | Kurenai Maria
Messages : 10 Date d'inscription : 26/12/2012 Age : 25 Localisation : France
| Sujet: Re: Récit, mon beau récit... Ven 28 Déc - 21:50 | |
| C'est que ça doît être dans le programme de 4ème ^^
Ok, j'avais déjà penser à utiliser plusieur figures de style, mais je ne savais pas trop comment, ou plutôt où les placer, car j'avais peur que cela rallonge mon texte qui était déjà bien long. Je me souviens avoir étudier les hyperboles, les comparaisons, les métaphores... mais pas les anaphores :/ Je ferais quelques recherches là-dessus ;)
Pour les lignes, j'ai ce problème là aussi, quand le sujet m'interesse, j'en fais trop ^^ Et des fois pas assez du tout quand ça ne m'interesse pas..
Pour raccourcir mon texte, j'avais pensé supprimer la partie du texte où Mathilde et son mari raporte la parure au joiallier, mais dans ce cas, il faudrait bien que je trouve quelque chose de plus court qui me permettrais de rejoindre le début et la fin du texte, peut être un élèment qui renforçerait encore plus la chute du texte et donc le sucide de Mathilde.
La nuit me portera surement conseil et encore merci pour ton aide ! :) |
| | | Gray Fullbuster
Messages : 68 Date d'inscription : 19/10/2012 Age : 25
| Sujet: Re: Récit, mon beau récit... Ven 28 Déc - 22:09 | |
| De rien x)
Les figures de style ne rallongent pas vraiment le texte en fait, ça dépend si elles sont bien utilisées ^^
Je suis pareil quand il s'agit des lignes. Sauf que même quand ça m'intéresse pas, ça m'arrive de faire 5 à 10 lignes en trop @@'
Oui tu pourrais passer sous silence le passage où ils vont chez le joaillier qui n'est pas vraiment utile mais après cela va entraîner la modification d'autres choses, etc.
Bon, je ne sais pas trop quoi te dire pour t'aider alors... Bonne chance! x) Et comme tu l'as dit, la nuit porte conseille! o/ |
| | | | Sujet: Re: Récit, mon beau récit... | |
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